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Le réseau mutualiste a noué un partenariat commercial avec la plate-forme Happy Capital pour accompagner les entreprises innovantes. L’Ecureuil va également mettre en place des équipes de conseillers dédiés aux start-up Les Caisses d’Epargne veulent conquérir des start-up d’avenirs en quête de fonds propres. Le réseau vient pour ce faire de nouer un partenariat commercial avec la plate-forme de crowdfunding Happy Capital pour permettre à ces entreprises innovantes, qui n’ont pas accès à la Bourse, de lever des fonds auprès du grand public. Ainsi, une entreprise innovante qui viendra frapper à la porte des Caisses d’Epargne, et dont le projet aura retenu l’attention de ses commerciaux, verra son dossier étudié en priorité par Happy Capital. Si la plate-forme retient le projet, il pourra faire l’objet d’une note de synthèse sectorielle, voire d’un label « coup de coeur » des analystes de Seventure Partners, la filiale de Natixis Global Asset Management spécialisée dans les technologies numériques et les sciences de la vie. Le réseau donnera par ailleurs de la visibilité aux projets retenus par la plate-forme de crowdfunding auprès de ses clients, notamment les investisseurs aisés en quête de placements fiscalement intéressants.
C’est à Metz, au cœur du nouvel espace de coworking Blida, que la Caisse d’Épargne a dévoilé, le 2 décembre, NéoBusiness, son dispositif national en faveur des start-up et des entreprises innovantes. Concrètement, le projet NéoBusiness vise à répondre aux besoins spécifiques des jeunes pousses, mais également des PME confrontées au choc digital et devant s’adapter à la nouvelle donne générée par le numérique. Le dispositif s’articule autour de quatre axes.
La Caisse d’Epargne lance une solution de levées de fonds en crowdfunding avec Happy Capital. Annoncé officiellement ce Mercredi 2 Décembre à Metz, Happy Capital sera la plateforme des Caisses d'Epargne dans le cadre du programme NéoBusiness. Seventure Partners, l'un des principaux acteurs de l'investissement en capital en Europe apportera sa contribution par des notes sectorielles ou encore des labels "coup de coeur". L'alliance entre l'un des premiers groupes bancaires de France et la start-up du financement participatif a un objectif commun : Développer un dispositif d'accompagnement des jeunes pousses et des entreprises innovantes
Partenariat avec Happy Capital Cinquante chargés d'affaires spécialisés seront ainsi opérationnels d'ici fin mars 2016 dans les huit premières caisses régionales chargées de déployer le dispositif. Ces experts aideront les start-up à accéder à l'ensemble des dispositifs d'aide présents en région et qui sont parfois sous-utilisés. Ils s'appuieront aussi sur une offre modulable qui comprendra entre autres la possibilité de lever des fonds propres en financement participatif. Les Caisses d'Epargne ont noué un partenariat exclusif avec la plate-forme de crowdequity Happy Capital
Pour tout entrepreneur désireux de lever des fonds, la préparation du dossier peut représenter un frein au recours au financement participatif [...] Pour pallier à cette contrainte de temps et d’argent, Happy Capital a mis au point en partenariat avec les cabinet Ernst & Young et DUPONT Partners une solution efficace et pertinente : avec le concept Happy D Day, Happy Capital s’engage à monter les dossiers en une journée ! Durant cette journée, nos porteurs de projet seront accompagnés par des consultants spécialisés dans un domaine spécifique. L’offre ‘Pack complet’ comprend les modules suivants : - Juridique (partenariat avec EY) - Financier (partenariat avec des experts comptables) - Stratégique (partenariat DUPONT Partners) - Communication Une préparation d’une heure est prévue avant le Happy D Day avec chaque intervenant. Le « D Day », un atelier de 2h est prévu pour chaque thème avec les intervenants spécialisés. Une formule flexible qui pourra être adaptée en fonction des besoins des différents projets. [...] Cette nouveauté s’inscrit dans une volonté de la plateforme de faciliter l’accès au crowdfunding et de moderniser le secteur en apportant des services complémentaires et innovants.
"Une partie des plateformes permettent de consulter en accès libre les détails de leurs projets de financement, alors qu’elles sont légalement tenues de réserver cet accès aux personnes qui se sont préalablement enregistrées sur leur site Internet, et qui sont donc censées avoir lu et approuvé des conditions d’utilisation expliquant les risques liés au crowdfunding, met en garde Philippe Gaborieau, fondateur et président de la plateforme Happy Capital. Par ailleurs, d’autres plateformes ne publient pas systématiquement le document d’information réglementaire obligatoire comprenant entre autres le bilan des sociétés souhaitant procéder à une levée de fonds par leur intermédiaire.» Si les autorités de surveillance n’ont à l’heure actuelle pas encore prononcé de sanctions à l’égard de ces plateformes – elles se contenteraient pour l’instant de leur envoyer des courriers les invitant à se mettre aux normes –, cette tolérance devrait toutefois prendre fi n dès le début de l’année prochaine, d’après plusieurs professionnels.
« Nous sommes actuellement en phase préclinique et espérons le tester chez l’homme à partir de 2018, pour le transférer à un industriel de la pharmaceutique », confie David Vandroux, docteur en biologie et président de l’entreprise. En parallèle, NVH Medicinal développe un outil industriel pour commercialiser ses collagènes comme matières premières, notamment pour la culture cellulaire en recherche. Elle ambitionne également de développer une gamme de produits dans le domaine de la médecine régénératrice en commençant par les cosmétiques.Toujours implantée au CHU de Dijon, l’entreprise s’appuie sur l’écosystème et les infrastructures de l’hôpital universitaire. Après quelques tours de table auprès de business angels et 450 000 euros récoltés par crowdfunding avec Happy Capital, elle espère lever 1 à 2 millions d’euros cette année, et réaliser 100 000 euros de chiffre d’affaires, en attendant l’essor de ses ventes l’an prochain.
Vendredi soir, Happy Capital organisait "les deuxièmes rencontres du crowdfunding" à Bordeaux. En ces temps où l'accès au crédit est difficile pour les petites entreprises, quelle est l'efficacité réelle de cette nouvelle méthode pour lever des fonds ?
Vendredi 20 mai 2015 a eu lieu la soirée des rencontres du Crowdfunding à l'institut culturel Bernard Magrez. Cette soirée était diffusée en direct sur bordeaux.tv. Au programme : des investisseurs, des projets présentés, la présence de Happy Capital à l'origine de cette soirée, My Major Company et pleins d'autres invités. Pour conclure cet événement, un concert de TIBZ et une dégustation de vins étaient proposés à tous les participants.
La plateforme de financement participatif, qui permet d’investir directement dans le capital de sociétés, propose une nouvelle fonctionnalité à ses utilisateurs. Il s’agit de la pré-collecte, qui permet désormais aux internautes d’effectuer des intentions d’investissement sur des projets présélectionnés par l’équipe de Happy Capital. Cette approche de pré-collecte peut être étalée sur quelques semaines. Elle présente 2 avantages; - Du côté des entrepreneurs, « cette période permet de finaliser la documentation juridique et de définir les contours financiers de l’opération ; - elle offre la possibilité à l’investisseur d’indiquer une intention sans verser de fonds, donc aucun engagement juridique ; en revanche, il est informé en priorité du lancement de l’opération de souscription », explique Happy Capital.