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  • La Tribune

    Energie houlomotrice : Hace finalise une levée de fonds de 700.000 €.

    Société dédiée à la mise au point d’une nouvelle technologie qui exploite l'énergie des vagues pour produire de l'électricité en continu et à bas coût, Hace, créée en 2013 à Saint-Médard-d’Eyrans, finalise une levée de fonds de quelque 700.000 € qui va lui permettre de lancer la fabrication de ses premiers prototypes, pour une mise à l’eau espérée à la rentrée. La campagne lancée à l'automne dernier sur la plateforme Happy Capital n'a pas apporté tous les fruits escomptés mais Hace est malgré tout en train de finaliser une levée de fonds de 700.000 €. Sur la plateforme, Hydro Air Concept Energie (Hace) a convaincu 84 investisseurs de lui apporter plus de 330.000 €, fonds qu'elle va pouvoir récupérer, ayant dépassé le seuil de 35 % de la somme espérée qui s'élevait à 869.000 €. Parmi ces investisseurs : Hervé Suty, ex-cadre de Veolia et fondateur de la SAS CapBurdi, qui propose d'accompagner les entreprises pour booster leur innovation : "L'éolien et le solaire ont fait l'objet de développements considérables mais pour l'énergie de la houle, énergie non intermittente disponible sur les mers et océans, tout reste à faire. Hace est probablement LA technologie originale des années 2020 dans ce domaine, explique Hervé Suty. Simple, robuste, sans nuisance et conçue pour une mise en œuvre aisée à proximité de la côte, elle présente les meilleurs atouts en termes d'investissement et de coût opératoire pour se développer rapidement. C'est pour ces raisons que j'ai décidé d'investir dans le projet Hace et de prendre part au développement de cette startup en devenant, dans un consortium d'acteurs complémentaires, partenaire privilégié pour des secteurs ciblés." Parmi eux : Jean-Michel Herrewyn, ex-directeur général de Veolia Eau. Un autre investisseur régional spécialisé dans les métiers de l'énergie apporte 300.000 €. S'ajoutent des investisseurs plus minoritaires pour porter la levée de fonds à quelque 700.000 €. Mise à l'eau en septembre Cette levée sera actée début mars, pour un début de pré-industrialisation début avril au plus tard. "Ces 700.000 € vont nous permettre de développer le petit prototype et d'avoir les premières machines en prototype pré-industriel, explique Jean-Luc Stanek, fondateur de la société. Si tout se passe bien, la première mise à l'eau aura lieu à la rentrée." Hace, qui rejoint l'association Aquitaine Croissance verte, à qui elle a présenté son système la semaine dernière, a confié la réalisation de son premier prototype à Ponticelli à Bassens et à FMGC (Fonderie et Mécanique Générale Castelbriantaise), société de Loire-Atlantique, pour les ancrages. La société attend la réponse de la Région Nouvelle-Aquitaine pour pouvoir être accompagnée sur la prochaine édition de Seanergy, convention internationale dédiée aux énergies marines renouvelables, qui aura lieu les 22 et 23 mars au Havre.

  • Fiscalonline.com

    Happy Capital lance le 1er test d’éligibilité en Equity Crowdfunding

    Happy Capital lance le 1er test d’éligibilité en Equity Crowdfunding Vous êtes entrepreneur, vous souhaitez lever des fonds en crowdfunding sous forme d’actions ? Mais vous vous demandez si votre dossier est éligible. Est-il compatible avec le crowdfunding ? La plateforme de financement participatif Happy Capital vient de mettre en ligne un test d’éligibilité qui comprend une trentaine de questions classées en 4 catégories : l’entreprise, le projet, l’équipe et enfin la présence numérique. Le test s’effectue en moins de 5 minutes affirme la plateforme. Le résultat est immédiat. Vous obtenez une note sur 100 et un commentaire précisant si vous avez plus ou moins de chances de réussir votre campagne de crowdfunding. Les questions sont le fruit de 3 ans d’expériences de campagnes réussies ou non et un algorithme créé en interne permet d’obtenir un avis immédiat qui fera gagner beaucoup de temps aux PME et à leurs conseils. « Ce test d’éligibilité nous a été demandé tant par nos clients porteurs de projet que par nos partenaires. Mais les conseils autour des start-up tels que les experts-comptables, avocats ou encore les incubateurs, accélérateurs...vont également pouvoir l’utiliser. Un gain de temps considérable pour tout l’écosystème » Happy Capital continuera d’améliorer et d’affiner les résultats du test en permanence et donc l’algorithme évoluera pour plus de précisions jusqu’à offrir des recommandations personnalisées. Happy Capital est l’une des plateformes pionnières de l’Equity crowdfunding en France. Elle se distingue par son positionnement : elle sélectionne des projets porteurs de sens ayant un impact sur notre vie. Autre point clé, il s’agit de la première et seule plateforme de France à investir dans tous les projets qu’elle soumet au public. Enfin, la Caisse d’Epargne a choisi Happy Capital comme plateforme d’Equity crowdfunding pour leurs clients professionnels. Pour découvrir le test d’éligibilité, suivez ce lien : http://bit.ly/2k3KdTe

  • Sud Ouest
    Sud Ouest

    Comment le Bordelais Aucoffre.com veut passer de 30 à 100 salariés en… 3 ans

    Jean-François Faure a eu l’idée de commercialiser des pièces en or après le krach boursier en 2008. Sa croissance impressionne. Aujourd’hui, il affiche 67 millions d’euros de chiffre d’affaires avec 29 salariés. En pleine levée de fonds pour partir à la conquête des marchés étrangers, il estime que sa société devrait atteindre les 100 salariés d’ici 3 ans. Après le krach boursier de 2008, "je cherchais alors à acheter de l’or pour sécuriser mon épargne et je me suis aperçu que c’était très compliqué d’en acquérir via une banque", explique Jean-François Faure. Très vite, il comprend aussi que le business des pièces en or sera plus rentable et permet de toucher une cible plus large. En effet, un demi-Napoléon coûte 100 euros, tandis que pour un lingot, il faut mettre 30 000 euros sur la table. Les rendements sont loin d’être à deux chiffres, mais l’or rassure des épargnants en quête de repères dans un monde financier où les crises se multiplient. Une diversification réussie Pour se faire connaître, Jean-François Faure a ensuite créé un blog, où il livrait ses conseils aux particuliers en matière de placement. En deux ans, son chiffre d’affaires est passé de 900 000 euros à 5 millions. Aujourd’hui, Aucoffre.com réalise 45 millions d’euros de chiffre d’affaires et emploie 29 salariés. C’est le fruit d’une ingénieuse diversification. Jean-François Faure a inventé en 2011 sa propre pièce, la Vera Valor. Et, en 2012, il a lancé Vera Carte, une carte bancaire Mastercard, à partir de laquelle ses clients peuvent payer et retirer de l’argent en France et à l’étranger. "Vous pouvez ainsi revendre votre or n’importe quand". Le cours de l’or est réactualisé toutes les quinze minutes. Les clients sont plutôt des hommes, des cadres, âgés de 55 ans, notamment des professions libérales. En moyenne, leur portefeuille en or se situe autour de 20 000 euros. Ils ne gardent pas les pièces chez eux. Seules 2% sont livrées. Les pièces sont stockées dans des coffres suisses (à 80%), français ou belges. Il veut faire émerger une nouvelle monnaie communautaire Aujourd’hui, Jean-François Faure entend franchir une nouvelle étape et a lancé en 2015 une filiale "VeraCash", une monnaie complémentaire adossée à des métaux précieux. Une monnaie globale d’intérêt communautaire est dédiée à l’épargne, à la consommation et à l’échange entre ses membres. Une filiale, qui a déjà réalisé 22 millions d’euros de chiffre d’affaires avec seulement 7 salariés. Alors que les tarifs bancaires ont augmenté de plus de 10% en moyenne depuis janvier dernier et que les monnaies locales se développent, il espère séduire de plus en plus de clients. "Nous prenons des frais de commission de 3% pour changer l’or en euros ou en dollars, mais si les gens s’échangent des euros entre eux, via VeraCash, il n’y a plus de frais", met-il en avant. En un an, plus d’un million d’euros ont ainsi été échangés entre particuliers. Sa cible, ce sont à la fois des grandes entreprises, avec des clients dans le monde entier, qui peuvent offrir des pièces en or, via "VeraCash" à leurs clients ou collaborateurs, en jouant sur le prestige que véhicule l’or, et d’importantes communautés de particuliers en Chine ou en Inde, dans des villages. Recrutements A ce jour, seulement 3 000 personnes utilisent VeraCash, mais la structure affiche déjà 22 millions d’euros de chiffre d’affaires avec seulement 7 collaborateurs. Alors, pour se déployer à l’international, Jean-François Faure lève actuellement des fonds, via Happy Capital, le site de crowdfunding bordelais. Alors, qu’il reste encore 19 jours, avant la clôture de la levée de fonds, son objectif de 500 000 euros a déjà été atteint. "Tout l’enjeu pour nous est de toucher de grandes communautés et d’avoir les bons partenaires à l’étranger. Ensuite, par viralité, VeraCash se développera", explique-t-il. A cet effet, il va embaucher cette année un responsable export, qui parle indien et/ou chinois, et plusieurs commerciaux. "Nous recherchons essentiellement des jeunes diplômés avec des profils type couteau suisse, très agiles". D’ici la fin de l’année, les effectifs de la filiale devraient doubler et passer de 7 à 14 salariés. Et, à horizon 3 ans, il nourrit des objectifs très ambitieux. "L’ambition est d’atteindre 300 millions d’euros de chiffre d’affaires, ce qui nous amènerait à employer 100 salariés", lance-t-il. Le chemin est encore long. L’année 2017 s’annonce déterminante quant à sa capacité à se déployer à l’international. Mais, Jean-François qui a déjà fondé 8 sociétés, aime relever les challenges.

  • Presseagence.fr
    Presseagence.fr

    Happy Capital lance le 1er test d’éligibilité en Equity Crowdfunding

    PARIS : Happy Capital lance le 1er test d’éligibilité en Equity Crowdfunding Vous êtes entrepreneur, vous souhaitez lever des fonds en crowdfunding sous forme d’actions ? Mais vous vous demandez si votre dossier est éligible. Est-il compatible avec le crowdfunding ? La plateforme de financement participatif Happy Capital vient de mettre en ligne un test d’éligibilité qui comprend une trentaine de questions classées en 4 catégories : l’entreprise, le projet, l’équipe et enfin la présence numérique. Le test s’effectue en moins de 5 minutes affirme la plateforme. Le résultat est immédiat. Vous obtenez une note sur 100 et un commentaire précisant si vous avez plus ou moins de chances de réussir votre campagne de crowdfunding. Les questions sont le fruit de 3 ans d’expériences de campagnes réussies ou non et un algorithme créé en interne permet d’obtenir un avis immédiat qui fera gagner beaucoup de temps aux PME et à leurs conseils. » Ce test d’éligibilité nous a été demandé tant par nos clients porteurs de projet que par nos partenaires. Mais les conseils autour des start-up tels que les experts-comptables, avocats ou encore les incubateurs, accélérateurs…vont également pouvoir l’utiliser. Un gain de temps considérable pour tout l’écosystème « Happy Capital continuera d’améliorer et d’affiner les résultats du test en permanence et donc l’algorithme évoluera pour plus de précisions jusqu’à offrir des recommandations personnalisées. Happy Capital est l’une des plateformes pionnières de l’Equity crowdfunding en France. Elle se distingue par son positionnement : elle sélectionne des projets porteurs de sens ayant un impact sur notre vie. Autre point clé, il s’agit de la première et seule plateforme de France à investir dans tous les projets qu’elle soumet au public. Enfin, la Caisse d’Epargne a choisi Happy Capital comme plateforme d’Equity crowdfunding pour leurs clients professionnels. Pour découvrir le test d’éligibilité, suivez ce lien : http://bit.ly/2k3KdTe A propos de Happy Capital : Happy Capital est une plateforme de financement participatif sous forme d’actions. Cette Fintech créée en 2013 est très active dans le secteur du financement des PME et œuvre à sa démocratisation. Son fondateur, Philippe GABORIEAU, diplômé d’HEC Paris, est également le Président de l’AFIP (Association Française du Financement Participatif) et vient de prendre la Présidence du Club Fintech HEC.

  • Sud Ouest

    Blook Up part à la conquête du monde en transformant des blogs en livres.

    La start-up bordelaise vise 10 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2019. Un objectif qui peut paraître utopique. Mais forte d’une technologie unique, BlookUp semble en mesure de se positionner sur ce créneau au niveau mondial. Elle boucle actuellement une importante levée de fonds pour monter en puissance "Seulement trois minutes suffisent pour éditer le contenu de son blog en livre avec notre plateforme", explique Philippe Bruno. Geek, patron d’une agence digitale depuis 15 ans, WSB, et amoureux des livres, ce Bordelais a eu une idée simple : transformer automatiquement le contenu d’un blog, voire d’une page Facebook ou d’un compte Twitter, en livre envoyé ensuite par La Poste. Une idée, qui pourrait bien lui rapporter "gros". La plateforme a été testée par 9 000 blogueurs

  • Ecomnews

    Immunrise Biocontrol développe une micro-algue qui remplacera les pesticides dans la viticulture

    Immunrise Biocontrol développe une micro-algue qui remplacera les pesticides dans la viticulture par Hélène Lerivrain le 16/01/2017 à 16:39 Immunrise Biocontrol basée à Pessac a découvert une micro-algue qui produit des molécules aux vertus bio-pesticides prometteuses. La start-up a reçu la visite du président de la Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, le 13 janvier. L’occasion pour la Région de rappeler son soutien et sa stratégie en matière de réduction de l’usage des pesticides dans le vignoble bordelais. Bientôt deux ans d’existence pour Immunrise et déjà des recherches concluantes ! La société a été créée en avril 2015 par Laurent de Crasto et Lionel Navarro pour identifier et développer des solutions de biocontrôle innovantes pour la protection des cultures. C’est en septembre de la même année qu’Immunrise a identifié un extrait naturel de micro-algue capable de détruire le mildiou, le botrytis et l’esca, trois maladies de la vigne. L’essai sur le mildiou a été efficace à 100 % en laboratoire. Plusieurs étapes chimiques, industrielles et agronomiques doivent encore être menées avant de pouvoir entamer un processus de demande d’autorisation de mise sur le marché après des autorités européennes. Levée de fonds attendue de 1 million d’euros Pour soutenir son projet, Immunrise a lancé en décembre 2016 une levée de fonds participative sur la plate-forme bordelaise Happy Capital. « L’objectif est d’atteindre au minimum un million d’euros pour pouvoir financer le développement de l’extrait mais aussi pour préparer l’avenir » explique Laurent de Crasto, co-fondateur. Il s’agira notamment de financer les tests en plein champ de ce nouveau bio-pesticide. Ils débuteront en mai prochain. D’autres tests seront effectués en 2018 et 2019. immunrise-1 Alain Rousset visite la salle dans laquelle est cultivée la micro-algue Grosses attentes « C’est un beau projet qui s’inscrit dans l’ère du temps. Les premiers résultats sont prometteurs. Reste maintenant à passer à la vitesse supérieure » reconnait Dominique Trioné, président du cluster de la filière vitivinicole en Nouvelle-Aquitaine Inno’vin. « Immunrise a de grosses attentes, mais c’est le cas également de la société en général, des viticulteurs et des riverains » explique Laurent de Crasto. « L’objectif pour nous est de proposer une solution qui se substitue totalement aux produits phytosanitaires. » Cohérence avec la stratégie de la Région La Région insiste sur le fait que cette initiative entre totalement dans les actions du plan pour accélérer la réduction de l'usage des pesticides dans le vignoble bordelais. Un plan lancé en 2016 par la Région Nouvelle-Aquitaine, le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), l'Etat et la Chambre d'Agriculture de la Gironde. « La Région soutient et continuera à soutenir Immunrise. Mais le rôle de la Région est aussi de mettre tout le monde autour de la table. Les viticulteurs, le monde du financement et d’autres entreprises qui travaillent dans ce domaine pour créer des coopérations » insiste Alain Rousset. La société compte aujourd’hui 8 salariés, 5 à Pessac pour la partie développement et 3 à Paris pour la partie recherche. L’objectif est d’atteindre les 50 salariés à l’horizon 2020-2022.

  • Journal Nouvelle Aquitaine

    Une algue révolutionnaire au service de la viticulture.

    Le Journal Nouvelle-Aquitaine parle de la filiale Immunrise Biocontrol et de la levée de fond en cours via Happy Capital dans son dossier Agriculture

  • Charente Libre

    Une algue 100% efficace contre le mildiou créée par une start-up bordelaise

    Fondée en 2015, la start-up bordelaise Immunrise développe une application à la viticulture des propriétés antibiotiques d’une micro-algue. Quand Laurent de Crasto débouche le tube à essai, une forte odeur de truffe vient piquer le nez: c’est la signature de la micro-algue déshydratée. Ce micro-organisme d’aspect brunâtre pourrait révolutionner le monde de la viticulture. Identifiée dans les eaux bretonnes par les deux fondateurs d’Immunrise, l’ingénieur et œnologue Laurent de Crasto (40 ans) et le chercheur à l’Institut de biologie de l’Ecole normale supérieure (ENS) Lionel Navarro (38 ans), cette algue est surprenante. «On voulait développer des solutions de biocontrôle alternatives aux pesticides de synthèse dans l’agriculture, confie Laurent de Crasto dans les bureaux d’Immunrise à Pessac (la start-up a son siège et son unité de recherche à Paris). On savait où chercher: l’océan, dont le potentiel biologique est totalement sous-estimé». C’est là que les deux chercheurs ont identifié deux micro-algues aussitôt brevetées: l’une aux effets biostimulants (elle stimule le patrimoine génétique d’une plante pour la rendre résistante aux maladies) ; l’autre avec un effet direct sur les champignons pathogènes de la vigne. «Elle produit des molécules antibiotiques, souligne Laurent de Crasto. Cela ne marche pas sur tous les champignons, mais le développement du botrytis est freiné à 50%, le mildiou à 100% et pour les maladies du bois, jusqu’à 90%.» Bientôt une ferme aquacole L’algue «poussant» naturellement en surface en présence de lumière, Laurent de Crasto et Lionel Navarro ont choisi le bassin d’Arcachon pour implanter une unité de production: à proximité du plus vaste vignoble de France, le Bordelais. Le projet sera lancé le mois prochain avec la création d’une filiale dédiée (ce qui ouvrira à Immunrise les subventions de la Région). Le président Alain Rousset soutient le projet. Et France AgriMer leur a alloué mercredi dernier une aide de 150.000 euros pour lancer les phases de tests, en partenariat avec l’Inra Bordeaux (l’Institut national de la recherche agronomique qui apporte son expertise et ses serres) et le Cesamo (Institut des sciences moléculaires de l’université de Bordeaux) spécialisé dans l’identification des molécules. Les défis sont multiples. D’abord, produire la micro-algue en quantité pour alimenter en biopesticide le vignoble bordelais et cognaçais. C’est l’objet de la ferme aquacole qui sera installée «probablement près de Biscarosse», au sud du bassin d’Arcachon. Isolée de ce dernier (pour éviter toute contamination), elle comprendra une vingtaine de bassins. Ensuite, «mettre en place un procédé de destruction de l’algue pour libérer les molécules actives sur les champignons, précise Laurent de Crasto. Ces molécules se dégradent au bout de 4-5 jours: une de nos priorités avec l’Inra sera d’augmenter la rémanence du produit, pour traiter tous les 15-21 jours. Puis il faudra développer l’application industrielle de notre découverte.» Outre les deux fondateurs, la start-up compte deux chercheurs à son siège parisien. Elle va recruter deux autres chercheurs à Bordeaux dans son unité de développement. Le défi de la commercialisation Les essais vont se poursuivre dans les serres de l’Inra avant des tests in vivo dès avril 2017 «pour déterminer le dosage des molécules garantissant leur efficacité dans le temps. On a encore deux à trois ans de travail devant nous.» Avant un dernier défi: l’autorisation de mise sur le marché. «Un vrai débat doit s’amorcer sur la réglementation régissant les pesticides d’origine biologique. La question n’a pas encore été tranchée par Bruxelles. Aujourd’hui le biopesticide n’est pas classé comme pesticide de synthèse en dépit des pressions des lobbies. Mais il n’est pas non plus classé comme agent fertilisant, dont l’accès sur le marché est simple, assure Laurent de Crasto. Si la réglementation des biopesticides rejoint celle des pesticides de synthèse, les start-up comme Immunrise ne pourront pas suivre: aujourd’hui, pour référencer un produit de synthèse, il faut 2 M€ de développement et attendre 7 à 8 ans. Si la start-up ne peut accéder rapidement au marché, elle devra vendre sa découverte aux grands groupes de l’agrochimie.»

  • L'Essor

    Le crowdfunding : un outil de défiscalisation et de développement.

    Le crowdfunding est un dispositif encore mal exploité en France. Permettant aux investisseurs de défiscaliser et aux PME de se développer, la plateforme Happy capital sort un livre blanc sur fond de programmes électoraux. Trois formes de crowdfunding co-existent en France. Le don, avec ou sans contre-partie, le prêt et le capital appelé Equity crowdfunding permettant de bénéficier d'avantages fiscaux sous certaines conditions. Cet outil est cependant assez peu exploité en France. A titre de comparaison, les start-up créatrices d'emplois sont plus nombreuses au Royaume-Uni qu'en France. Elles lèvent deux fois plus de fonds (4,3 Mds € contre 1,81 Mds €). En 2015, la Grande Bretagne comptait 1,18 million d'emplois marchands de plus qu'en 2008, pour 200 000 perdus en France. Il existe cinq fois plus de business angels outre-manche. La fiscalité a un véritable impact chez le champion de la création d'entreprises et d'emplois. « Le régime fiscal y est incitatif avec 30 % de déduction fiscale pour un investissement dans une PME, 50 % dans une start-up pour des seuils annuels allant jusqu'à 1 M€, explique le lyonnais Philippe Gaborieau (1), à la tête de la plateforme Happy Capital. « S'ajoutent des durées de détention de trois ans, une réduction d'impôts en cas de pertes en capital et pas de taxation sur les plus-values ». Propositions de simplification En France, l'investissement sous forme de crowdfunding en actions permet de bénéficier d'une déduction fiscale sous certaines conditions. L'entreprise doit être soumise à l'impôt sur les sociétés ou le revenu, avoir moins de sept ans, un CA inférieur à 50 M€ et moins de 250 salariés. Le choix de réduction fiscale se fait à l'entrée ou la sortie. Les réductions fiscales peuvent aller de 18 % des versements annuels dans la limite de 50 000 € ou 100 000 € selon que l'on soit une personne seule ou un couple, à 50 % si on est imposé à l'ISF dans la limite de 90 000 €. Les avantages fiscaux du PEA PME ne sont pas cumulables avec les exonérations sur l'ISF et l'IR. Les actions doivent être conservées cinq années fiscales après la date d'acquisition. Dans son livre blanc sur la défiscalisation, Happy capital propose six mesures : un taux unique de déduction fiscale de 50 %, un plafond maximal de 45 000 € de l'avantage fiscal, une durée de détention des actions de trois ans, pas de taxation des plus-values et réduction d'impôt pour les entreprises qui investissent dans les PME en cas de moins-value. Aline Vincent (1) diplômé d'HEC. Président de l'AFIP (Association Française du Financement Participatif) et du club Fintech HEC

  • Ecolop.info

    Happy Capital / Financement participatif en actions : l’exemple de HACE, la technologie qui permet de capter l’énergie des vagues.

    HACE, la technologie qui permet de capter l'énergie des vagues, lève des fonds sur la plateforme de crowdfunding Happy Capital. La Startup bordelaise a déjà collecté plus de 250 000 euros sur la plateforme de financement participatif Happy Capital. Cette véritable innovation technologique pourrait bouleverser le marché de l'électricité dans le monde. Tout a commencé en 2011 après le drame de Fukushima. Jean Luc Stanek, dirigeant et inventeur de HACE décide de passer du rêve à la réalité en créant un premier prototype imaginé pendant 10 ans et que l'on peut aujourd'hui découvrir à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers (ENSAM) de Bordeaux. Ce projet a été conçu pour récupérer l'énergie de toutes les vagues, même les plus petites et les plus chaotiques (20cm) permettant de répondre au principal frein des énergies renouvelables : l'intermittence. Il s'agit d'une énergie propre, dé-carbonée à faible coût, accessible à tous, qui permettrait aux pays émergents de développer une énergie propre et aux pays développés de trouver une solution à leur forte consommation en énergie non-renouvelable. Quel est le principe ? Le système est basé sur des colonnes d'eaux oscillantes qui pompent l'air en double effet générant un flux d'air fermé avec une différence de pression suffisante pour actionner une turbine génératrice d'électricité. Les pièces sensibles ne sont pas en interaction directe avec l'eau de mer ce qui augmente la fiabilité. La modularité de la technologie HACE permet de s'adapter sur une large zone d'implantation et de répondre aux besoins de tous. « La situation du nucléaire en France est devenue très préoccupante » tels sont les termes employés par l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) sur les centrales françaises vieillissantes. Une situation inquiétante pour un hiver qui pourrait se révéler difficile sur le plan énergétique. C'est là toute l'ingéniosité du projet HACE qui permet de générer de l'électricité en continu et présente l'une des meilleures alternatives ou complémentarités à l'énergie nucléaire. Ce projet a déjà suscité l'intérêt et l'engouement de spécialistes du secteur qui témoignent du potentiel immense de cette technologie. Hervé Suty, ancien Directeur de la recherche et de l'innovation de Veolia et créateur de la SAS Cap Burdi (La route de l'Innovation) indique que : « Le contexte énergétique mondial est en pleine évolution et les pressions sur les émissions de carbone ouvrent le champ aux énergies renouvelables, simple, robuste, sans nuisance et conçue pour une mise en œuvre aisée à proximité de la côte elle présente les meilleurs atouts en termes d'investissement et de coût opératoire pour se développer rapidement : c'est la technologie originale des années 2020 dans ce domaine ». Jean-Luc BAROU, Délégué Régional ARTS Bordeaux (Association de Recherche pour la Technologie et les Sciences) précise que : « la technologie développée par HACE permet de concentrer et capter le maximum d'énergie quelque soit la houle rendant le dispositif quasi-permanent, ce représente une véritable rupture technologique ». « Cette solution de capture de l'énergie des vagues permet à toute personne de bénéficier d'une énergie décarbonée à faible coût. Il est donc possible que certains pays se développement de façon propre et écologique. Quel beau défi pour notre planète ! » complète Jean-Luc Stanek, dirigeant de HACE. Les partenaires et futurs actionnaires disposent de toutes les cartes en main pour faire aboutir ce projet industriel. Le dirigeant s'est entouré de partenaires stratégiques tels que l'école d'ingénieurs Arts et Métiers de Bordeaux, Sogeti High Tech, leader de la simulation numérique des turbines ou encore Ingeliance, spécialisé dans les simulations numériques des écoulements complexes et des comportements des structures en mer. Conforté par un brevet PCT international après 4 ans d'études, HACE a obtenu le prix de l'innovation Transtech I'nov pro en 2015. La société est en levée de fonds jusqu'au 31 décembre via Happy Capital afin d'accélérer la phase de pré-industrialisation de sa technologie houlomotrice.

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    Formulaire de contact

Happy Capital est Conseiller en Investissement Participatif (CIP) enregistrée à l'ORIAS sous le numéro 1300472

AMF - Conseiller en Investissement Participatif (CIP): Happy-Capital

Conformément à la réglementation en vigueur depuis le 1er octobre 2014, Happy Capital a fait l’objet d’une étude approfondie par les autorités françaises (Autorité des Marchés Financiers) sur les points suivants :


- Nos procédures internes de respect des règles de bonne conduite
- Le parcours client
- L’adéquation des produits financiers proposés
- La clarté, la transparence et le caractère équilibré des informations transmises
- La sécurité de la plateforme
- La gestion des flux financiers
- La sécurité des paiements
- La confidentialité des données
- La politique d’évaluation et de sélection des émetteurs
- L’honorabilité des dirigeants de la plateforme
- Les procédures internes de respect des règles de bonne conduite
- La gestion des conflits d’intérêts
AMF - Conseiller en Investissement Participatif (CIP): Happy-Capital


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AMF - Conseiller en Investissement Participatif (CIP): Happy-Capital
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  • Happy Capital est Conseiller en Investissement Participatif - Inscrit à l'ORIAS sous le n° 13004726


Avertissement : l’investissement au capital de start-ups et PME présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi ainsi qu’un risque d'illiquidité. En savoir plus >

Avertissement sur les facteurs de risques

L’investissement dans de jeunes entreprises non cotées présente des risques parmi lesquels : la perte totale ou partielle du capital investi, l’illiquidité, l’absence de valorisation après l’investissement ainsi que des risques spécifiques à l’activité du projet détaillés dans le Document d'Informations réglementaires mis à disposition dans l’onglet « documents d'informations » des projets. Ces risques sont à connaitre avant d'envisager un tel investissement.

Risque de perte partielle ou totale du capital investi
L'investissement en actions de sociétés non cotées n’est pas garanti. Les prévisions, fondées sur la réalisation d'hypothèses arrêtées par les sociétés, ne préjugent pas des performances futures. Les actions souscrites peuvent perdre de la valeur pouvant aboutir jusqu’à la perte totale de votre investissement initial. Avant tout investissement, vous devez vous assurer que vous disposez des ressources financières suffisantes pour supporter les risques de perte en capital. Vous ne devez pas investir de l’argent dont vous pourriez avoir besoin rapidement.


Risque d'absence de liquidité de l'investissement
Il n'existe aucune garantie de liquidité de l'investissement dans des actions de sociétés non cotées, les entreprises qui lèvent des fonds n’étant pas admises à la négociation sur un marché réglementé ou organisé. Par ailleurs certaines clauses statutaires et/ou extra-statutaires des opérations présentées peuvent impliquer des restrictions potentielles quant à la négociabilité des actions et limiter les possibilités de cession des actions de l’entreprise. De plus les actions étant souscrites par un nombre restreint d’investisseurs, la cession des actions entre investisseurs peut s’avérer impossible et aucune liquidité n’est assurée par Happy Capital. Vous devez vous assurer que vous pouvez immobiliser les montants investis sur un horizon de long terme, sans aucune garantie de délai.


Risque lié à l’évaluation des titres
Compte tenu de la difficulté à estimer la valeur des actions non cotées, Happy Capital ne pourra pas vous indiquer la valeur exacte de vos actions après l'opération.


Risque de dilution
Il est possible qu’à l'occasion d’une nouvelle levée de fonds ultérieure à votre investissement, ce dernier se trouve dilué par l'émission de nouvelles actions et par conséquent que le pourcentage de parts détenu soit diminué.


Risques liés aux avantages fiscaux
Ces avantages sont conditionnés au fait de conserver vos titres pendant 5 ans suivant votre souscription, et à condition que la levée ait abouti. Il dépend également de votre situation individuelle. Ces avantages ne peuvent être garantis en l'absence de rescrit fiscal. Enfin, il faut garder à l’esprit qu'ils peuvent être remis en cause par l’évolution de la législation fiscale.


Les règles fondamentales de l’investissement dans les start-ups et PME
- N’investissez jamais plus de 5 à 10 % de votre patrimoine dans les start-up et PME non cotées
- N’investissez jamais de l'argent dont vous pourriez avoir besoin à court ou moyen terme
- Diversifier vos placements en investissant dans différentes entreprises, sur différents secteurs, à différents stades de maturité
- Investissez de préférence dans des entreprises dont vous comprenez le secteur, le modèle économique et les modalités de l'opération

Avant toute souscription de titres financiers, nous vous invitons à prendre connaissance de l’ensemble des informations relatives à l’opération et à l’entreprise, synthétisées dans le « document d’information réglementaire » disponible dans l’onglet « document d’information » de la page de présentation des entreprises.
En cas de questions, nos équipes dédiées à l’accompagnement des investisseurs sont à votre disposition
par téléphone au 09 72 87 37 86
par notre formulaire de contact



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