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La Fintech Happy Capital, partenaire national de la Caisse d’Epargne affiche un 1er semestre hors norme avec 100% de réussite pour ses levées de fonds... Les porteurs de projets qui ont choisis la plateforme peuvent se frotter les mains. Tous ont validés leur augmentation de capital. Après un taux de réussite de 50% depuis la création de Happy Capital en 2013 puis 75% sur les 2 dernières années, le taux est passé à 100% cette année. Le fruit de la maturité ?
Pionnière de l’édition papier du contenu de nos existences numériques sur Facebook, Twitter, Instagram… la société bordelaise BlookUp veut lever 5 millions d’euros pour devenir un champion planétaire Créée en 2012 par Philippe Bruno, un bordelais qui ne voulait pas se partager entre deux passions, le livre et les nouvelles technologies, la société BlookUp est spécialisée dans l’édition des contenus de nos réseaux sociaux. Au début de l’aventure, elle proposait uniquement l’édition papier des contenus des blogs. Au fil du temps, son offre s’est affinée et son interface permet à tout internaute et mobinaute d’éditer le plus simplement du monde et très rapidement des livres à partir des contenus de ses comptes Tweeter, Facebook, Instagram… "Au départ seul les blogueurs ...
Deux mois de suspension d'activité pour mytoc.fr...Non la plateforme culturelle lyonnaise installée sur une péniche n'est pas en train de couler. Cet arrêt momentané d'activité s'effectue "dans le but de se consacrer entièrement à la levée de fonds en cours sur Happy Capital" explique ses promoteurs. Le site internet est mis en «stand by» jusqu’au 21 juin, jour où sera organisé une grande fête sur la péniche, pour annoncer le résultat de cette opération baptisée «Entracte». La levée de fonds lancée sur Happy Capital est réalisée dans le but de préparer le développement de mytoc.fr dans six autres grandes villes-régions en France dès 2019. "Ce déploiement est essentiel pour prendre une dimension nationale, développer les ventes de cartes spectacles tout en mutualisant les principales...
Immobilier : une startup bordelaise lance l’agence en ligne à commission fixe Immobilier : une startup bordelaise lance l'agence en ligne à commission (...) Théo Sudre, diplômé de l’école de commerce Kedge Business School, a lancé en avril dernier la société Immo-pop, agence en ligne sans commissions proposant un forfait fixe de 1890 € à régler seulement en cas de vente. Deux ans après les prémices de l’idée, Théo Sudre et son associée Amélie Pétriat ont su implanter leur concept à Bordeaux et ses environs et ont déjà vendu une vingtaine de biens. Fasciné par la Proptech (Property Technologie), il s’est imprégné des nouveaux services immobiliers et nouvelles plateformes;;;
Happy Capital, partenaire de la Caisse d'Epargne depuis plus de 2 ans est fier de ce Fintech Tour et s'inscrit dans la stratégie de la Caisse d'Epargne de se rapprocher toujours plus des investisseurs qui croient en l'économie réelle et dans l'accompagnement de nos PME
Le site d’investigation locale, implanté à Lille, Toulouse, Lyon et Nantes annonce avoir bouclé sa levée de fonds et réorganisé son capital pour assurer sa croissance. L’équipe de Médiacités lors du lancement à Lille. Le journalisme est aussi une bataille financière. Le nerf de la guerre pour assurer l’indépendance d’un média. Ainsi, le journal en ligne Mediacités, implanté dans 4 villes françaises (Lille, Toulouse, Lyon et Nantes) a bouclé son augmentation de capital, a annoncé le site d’investigation dans un communiqué. L’objectif initial était de lever 350 000 euros. Finalement, cet objectif est dépassé avec 430 000 euros récoltés. Déjà en mars, l’opération était bien engagée. Cela s’est confirmé. Cette levée de fonds modifie le capital du journal en ligne de la manière...
Ce journal en ligne indépendant a été lancé en décembre 2016 à Lille et s’est depuis étendu à Lyon, Toulouse et Nantes. Reste à savoir si ce type de presse peut survivre économiquement. Médiacités, l'investigation à l'échelle locale «Nous croyons que la presse doit jouer un rôle de contre-pouvoir au niveau local. Lutter contre la constitution de baronnies, déverrouiller les systèmes quels qu’ils soient et endiguer la défiance généralisée qui mine notre démocratie.» Cette déclaration est tirée du manifeste de Mediacités, journal en ligne d’investigation et de décryptage «décliné dans les métropoles de France en autant de sites que d’agglomérations couvertes». Lancé en décembre 2016 à Lille, la couverture du site s’est depuis étendue à Lyon, Toulouse et Nantes.
Théo Sudre et sa mère Amélie lancent à La Brède en Gironde l'agence immobilière en ligne Immo-Pop. Elle bouscule le marché de l'immobilier entre particuliers en l'ubérisant. Théo Sudre, 20 ans, titulaire d’un bac STMG, actuellement en Bachelor à Kedges, a toujours été attiré par les ventes immobilières. Mais ce qui le gênait, était le coût des frais d’agences et la complexité d’une vente si le propriétaire veut se débrouiller seul. Théo s’est associé avec sa mère, Amélie Petriat, qui travaillait depuis des années dans la négociation-gestion, et tous deux se sont lancés à La Brède (Gironde) dans la start-up Immo-Pop, une agence immobilière en ligne sans commission. Cette nouvelle plateforme digitale « bouscule le marché de l’immobilier entre particuliers en l’ubérisant : elle permet...
Les vendeurs et acheteurs n’ont, à ce jour, pas les outils pour vendre ou acheter décemment un bien immobilier. Le choix se concentre entre deux solutions, toutes deux dépassées et inadaptées aux réalités actuelles. D’un côté, des agences immobilières proposant un modèle dépassé, et des commissions injustifiées, et de l’autre, des sites de petites annonces archaïques, chronophages et sans aucun service. Une alternative réellement efficace est nécessaire. C’est dans ce contexte que Théo Sudre, diplômé de l’école de commerce Kedge Business Shcool, et son associée, Amélie Petriat, négociatrice dans un service de gestion et de transaction immobilière depuis plus de 10 ans, ont eu l’idée d’un concept totalement disruptif dans le domaine de l’immobilier : Immo-pop. Ce nouveau service...
La PME Air Marine maintient des efforts importants pour ne pas rater la révolution technologique qui commence à transformer les services marchands aériens, en particulier avec l'éclosion des drones à usage civil. Elle annonce des contrats avec GRTgaz et Total. Dédiée depuis 1991 à la surveillance par avions, et désormais aussi par drones, de sites industriels ou encore d'installations de panneaux solaires, la société Air Marine, basée à l'aérodrome de Saucats (Gironde), cotée en bourse, vient de publier ses résultats 2017. Cette PME, qui a décidé d'investir massivement dans l'innovation pour faire face à la transformation de son marché par les nouvelles technologies, a réalisé un chiffre d'affaires en légère augmentation sur un an, à 2,2 M€ (+2,57 %)...